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Interview des fondateurs – 2ème partie

Suite et fin de l’interview des fondateurs Finalease Group Security
20/04/24
Par Jérôme Thery

Dans la 1ère partie de l’interview, Mikaël Choucroun et Patrick Lascar sont revenus sur la genèse de Finalease Group Security – depuis la création de Lease Protect France en 2009 aux acquisitions d’Adamis Technologies, d’Aximea et Vigifrance -, sur les solutions proposées aux clients du groupe mais également sur les besoins croissants en France d’équipements de sécurité chez les professionnels.

Voici la suite de l’interview :

Les commentaires d’anciens employés sur votre entreprise sont positifs dans l’ensemble, mais disent aussi souvent que le niveau d’exigences est plutôt élevé. Quel est votre collaborateur ou collaboratrice idéal/e ? Quelles sont les compétences, savoir-être et savoir-faire, que vous souhaitez embarquer avec vous pour répondre à vos prochains défis ?

PATRICK LASCAR

« Mikaël et moi sommes arrivés dans ce métier après avoir fait une rencontre avec quelqu’un qui nous a mis le pied à l’étrier. C’est ce que nous nous efforçons de faire chaque jour avec nos collaborateurs qui se répartissent de la façon suivante : 50% en business development, 30% en équipes techniques, 20% en back-office. »

MIKAEL CHOUCROUN

« Nous assumons d’avoir une certaine exigence envers nos collaborateurs, parce que nous l’avons envers nous-mêmes pour nos clients. Nous mettons en œuvre tous les moyens pour que nos collaborateurs puissent travailler dans de bonnes conditions – véhicule, portable, avantages, mais aussi projet de carrière et formation – à l’instar de ce qu’ils pourraient trouver dans un grand groupe.

Nous faisons confiance dès le début et tout ce que nous espérons, c’est que nos collaborateurs grandissent avec nous. »

MIKAEL CHOUCROUN

« Notre objectif ? La réussite de nos collaborateurs »

PATRICK LASCAR

« Aujourd’hui, un profil business developer peut multiplier son salaire par 3 ou par 4 s’il a de bons résultats. Nous ne sommes pas regardants sur la performance, au contraire, nous l’encourageons. Il est certain que ce métier n’est pas un travail avec des horaires de bureau. Mais le salaire suit, largement. »

MIKAEL CHOUCROUN

« Nous attendons à peu près le même savoir-être de tous nos collaborateurs. Un bon début consiste à effectuer une veille constante et être curieux sur son propre domaine, qu’il s’agisse d’une fonction commerciale, marketing, RH ou autre. »

PATRICK LASCAR

« Nous souhaitons nous entourer de personnes à l’aise dans leurs baskets et qui ont envie de partager, tout simplement. Par ailleurs, si une personne postule chez nous sans expérience, mais qu’il ou elle présente les qualités requises, nous sommes capables de lui donner sa chance. C’est notamment le cas de plusieurs de nos collaborateurs de longue date. »

MIKAEL CHOUCROUN

« Sauf pour les profils techniques, la partie savoir-être représente 70% dans la décision de recrutement. »

PATRICK LASCAR

« C’est gratifiant de recruter une personne, avec ou sans expérience, et la voir réussir. Tout ce que nous souhaitons en définitive, c’est que nos collaborateurs aiment leur travail, qu’ils aient plaisir à retrouver leurs collègues et qu’ils permettent à l’entreprise de monter en puissance. »

MIKAEL CHOUCROUN

« Nous organisons régulièrement des événements et des communications pour informer, fédérer, mettre en valeur nos collaborateurs, quel que soit leur métier. »

La crise sanitaire a forcé plusieurs secteurs à ralentir, voire suspendre leur activité. Vous, vous avez mené deux opérations d’acquisition en 2020, après une première acquisition réussie d’Adamis en 2016, et deux autres opérations de croissance externe sont prévues d’ici 2022. C’est dans ce contexte qu’est créée Finalease Group Security. Comment expliquez-vous cette croissance ? Et votre ambition est-elle de devenir un acteur majeur de la sécurité, mais aussi de la sûreté ?

MIKAEL CHOUCROUN

« Effectivement, nous avons fait l’acquisition de deux entreprises qui elles-mêmes se portaient très bien – et se portent encore mieux aujourd’hui. Ce qui nous a poussé à faire ces opérations d’acquisition, c’est une stratégie de diversification. De plus, la crise a effectivement impacté le retail et la grande distribution, qui sont nos clients, mais elle a aussi été l’occasion pour nous de démarrer une nouvelle activité, comme les écrans dynamiques et les totems digitaux pour remplacer les supports papiers et informer les consommateurs.

Comme le click & collect, les écrans dynamiques et les totems ont permis à ce secteur de s’adapter aux restrictions sanitaires. »

PATRICK LASCAR

« Le secteur de la sécurité étant par ailleurs très résilient, nous avons pu maintenir l’emploi de tous nos collaborateurs. Avec Mikael, nous avions pris des engagements concernant le déploiement du groupe fin 2019 et nous nous y sommes tenus, malgré cette crise. Nous avons la chance, aussi, de pouvoir compter sur des actionnaires solides qui n’ont jamais douté de notre capacité à atteindre les objectifs que nous nous étions fixés. »

MIKAEL CHOUCROUN

« Il faut souligner aussi que l’État a joué son rôle, notamment avec le PGE (Prêt Garanti de l’État), et le chômage partiel. Même les recrutements qui étaient en période d’essai, nous les avons maintenus. »

PATRICK LASCAR

« Nos objectifs de croissance aujourd’hui se traduisent d’abord par la volonté de couvrir géographiquement tout le territoire national, mais nous n’avons pas fixé un dogme. »

MIKAEL CHOUCROUN

« Nous sommes bien plus intéressés par la réussite de nos collaborateurs et de notre collectif que par un classement avec d’autres entreprises. Avec une bonne équipe, une entreprise devient tout-terrain. »

Tous les chiffres le démontrent : l’installation de vidéosurveillance réduit de façon drastique la malveillance et les vols. Pourtant, ces équipements suscitent encore la controverse. Au vu de votre expérience dans le domaine et de ce que vos clients vous racontent, qu’est-ce qu’il faudrait dire selon vous aux détracteurs des systèmes que vous fournissez ?

MIKAEL CHOUCROUN

« Quel métier peut plaire à tout le monde ? »

PATRICK LASCAR

« Nous entendons aussi beaucoup de personnes reconnaître qu’elles auraient aimé comprendre plus tôt l’intérêt d’un système de vidéosurveillance. Le fait est qu’il est illusoire de croire qu’on peut se passer d’un minimum de protection, alors autant exploiter des informations utiles. Pour rappel, la sécurité est la première des choses qu’on doit pouvoir apporter aux administrés. Et des administrés qui se sentent en sécurité profitent des lieux, ils ne les fuient pas. Ainsi, une entreprise prospère, ne licencie pas, et elle recrute. »

MIKAEL CHOUCROUN

« C’est une question de balance avantage/inconvénient. Aujourd’hui, plus une enquête ne se fait sans recourir aux images de vidéosurveillance. Remettre en question les effets bénéfiques de la caméra de surveillance, c’est vivre contre son temps. »

PATRICK LASCAR

« La première des libertés, c’est la sécurité. J’aime l’idée de réinvestir de l’argent dans le tissu économique par le biais de la marge. J’aime l’idée de participer à davantage de sérénité et de sécurité. »

Enfin, on parle de plus en plus d’éthique du business et de l’impact des entreprises sur la société. Certaines entreprises décident même de se fixer une « raison d’être ». Quel impact souhaitez-vous que Finalease Group Security ait sur son environnement ?

PATRICK LASCAR

« En plus de ce que j’ai indiqué, je dirais que j’aime l’idée d’inciter d’autres futurs entrepreneurs à sauter le pas. Nous sommes, chacun, maîtres de notre destin, et je voudrais que notre expérience, à savoir la création d’une société à partir de rien, serve d’inspiration. C’est le message que j’essaye de faire passer à l’UPE, dont je fais partie. J’aime l’idée que, par ce que nous reversons à l’État, nous contribuons à l’effort collectif. »

MIKAEL CHOUCROUN

« Il est évident que nous croyons à l’idée que quelqu’un doit pouvoir percevoir les fruits de son travail et nous sommes tous interconnectés. Le bien-être de nos clients dépend de celui de leurs clients. Tout ce qui participe au bien-être général est bon pour nous. »

PATRICK LASCAR

« C’est parce que nous adoptons une certaine éthique également dans notre façon de travailler que nous sommes reconnus et respectés sur le marché. »

* Démarque inconnue : différence entre stock réel constaté et stock théorique due aux vols internes et/ou externes.